Sommes-nous en train de vivre les conséquences du réchauffement solaire et du climatique?


Nous sommes en train de vivre ces derniers temps une hausse de température en Tunisie, et partout dans le monde. Il s'agit de modification de l’équilibre thermique de la Terre qui a par la suite, de nombreuses conséquences sur l’homme et l’environnement.  

En effet,  le sixième rapport du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC) de 2021 constate que «des changements largement répandus et rapides se sont manifestés dans l’atmosphère, l’océan, la cryosphère et la biosphère». Selon ce rapport, des changements profonds et à long terme tels que la fonte des calottes glaciaires, la hausse des températures et du niveau de la mer, ou bien l’acidification des océans sont déjà en cours de manière irréversible. 

Notons ainsi que certaines conséquences du changement climatique sont des conséquences directes, provoquées par l’activité humaine notamment: 

  • La hausse des températures maximales 
  • La hausse des températures minimales  
  • La hausse du niveau de la mer  
  • La hausse de la température des océans  
  • L'intensification des précipitations (fortes pluies et grêle) 
  • L'augmentation des cyclones tropicaux violents 
  • L'augmentation des périodes d’aridité et de sécheresse 
  • Le recul de la glace de la mer Arctique et de la couverture neigeuse 
  • Le recul et fonte des glaciers 
  • Le dégel du pergélisol 

D'autres conséquences indirectes du changement climatique pourront se manifester, à savoir :  

  • Les risques sanitaires en raison de la hausse de la fréquence et de l’intensité de vagues de canicule 
  • L'augmentation des crises alimentaires et de l’eau, notamment dans les pays en voie de développement 
  • La menace d’existences en raison d’inondations et d’incendies de forêt 
  • Les conséquences économiques pour l’élimination des conséquences climatiques  
  • La prolifération des nuisibles et des maladies 
  • La perte de la biodiversité en raison de la capacité et de la vitesse d’adaptation limitées de la faune et de la flore  
  • L'acidification des océans due aux concentrations de HCO3 élevées dans l’eau en raison de la hausse des concentrations de CO2
  • La nécessité d’agir dans tous les secteurs (p. ex. agriculture, sylviculture, énergie, infrastructure, tourisme, etc.) 

 

 

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Nouha Belaid




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