Abdellatif El Mekki compte voler au secours de la "démocratie tunisienne"!?


L’ancien dirigeant du parti islamiste Ennahdha, Abdellatif El Mekki, vient de former un nouveau parti politique: Parti du Travail et de la Réalisation. Le parti en question se veut national, conservateur et socio-démocrate. Abdellatif El Mekki compte voler au secours de la «démocratie tunisienne» et considère les velléités dictatoriales de Kaïs Saïed comme un fléau à combattre.

Il y a quelques semaines, le professeur de philosophie, Hamadi Ben Jeballah, était l’invité de Hamza Belloumi sur Mosaïque FM. Il a rappelé, au cours de cette émission, qu’Abdellatif El Mekki était surnommé « ed-daghar » (le surineur) lors de ces années étudiantes, mais sans prendre la peine d’expliquer l’origine de ce surnom qui fait froid dans le dos (une preuve supplémentaire du courage de nos «intellectuels »).
 
Ces gens là sont infréquentables et très dangereux. On les voit se distribuer les rôles dés qu'ils se sont sentis menacés, Hammami a tout renié, Dilou a retrouvé son tôle d'avocat aux aguets, Mekki se crée un parti pour ne pas dilapider le capital électoral, sans oublier les planqués qui péroraient à l'époque de leurs superbes et qui se font petits parce que le vent a tourné.
 
Ils n'ont aucun sentiment patriotique et leurs actions sont toujours pernicieuses, opportunistes et hypocrites, et tout ça pour amener le pays à un état de mendicité et de médiocrité tristement historique. La plaie est ouverte et ne font qu'y remuer leurs couteaux empoisonnés comme celui du "Daghar" qui était un précurseur.
 
En fait, Abdellatif El Mekki, comme tous les autres dirigeants d’Ennahdha, a un passé de terroriste. Il était souvent muni d’un poignard, notamment au foyer universitaire du Bardo, et s’en est servi à plusieurs reprises lors des bagarres qui opposaient les étudiants gauchistes aux islamistes. D’anciens étudiants de l’UGET peuvent en témoigner. Ainsi, quand Abdellatif El Mekki s’érige en défenseur de la démocratie et en militant anti-dictature... J’en ris sous cape.
 

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Mohamed Sadok Lejri




Mohamed Sadok Lejri